Hil & Moer: Lutte biologique contre les pucerons dans les cultures de myrtilles.

«Ça fait quelques années que nous utilisons des agents de lutte biologique contre les pucerons, mais il y avait encore des difficultés», explique Theo van Montfort de Hill & Moer. Dans les serres où deux variétés de myrtilles (Duke et Nui) sont cultivées, nous utilisons le moins possible de produits chimiques. Cela signifie qu’une alternative fiable devait être trouvée. La protection des cultures par les insectes auxiliaires donne la possibilité de réduire le nombre des traitements tout en gardant les divers ravageurs sous contrôle. Après avoir essayé différentes stratégies depuis plusieurs années, Theo van Montfort peut enfin dire :

«Depuis que j’utilise BerryProtect dans mes serres et que j’applique une stratégie préventive (lâcher des parasitoïdes avant l’apparition des premiers pucerons), j’ai trouvé une très bonne alternative aux traitements chimiques contre les pucerons ».

Ce mélange de cinq espèces de parasitoïdes contrôle les pucerons les plus couramment rencontrés dans les myrtilles, ce qui, pour les producteurs, facilite grandement la protection biologique des cultures.


Meffre Plant : VerdaProtect pour la lutte contre les pucerons

La société Meffre Plants, située à Monteux près d’Avignon, produits des plants pour le secteur maraîcher depuis de nombreuses années. Issus d’une famille de maraîchers, ils appliquent les techniques les plus pointues afin de répondre au mieux aux demandes de leurs clients : l’usage de filets anti-insectes, le greffage, la gestion assistée par ordinateur ainsi que l’utilisation d’un mix de parasitoïdes contre les pucerons. La société se doit d’être exigeante par rapport à la gestion des ravageurs : « Nous produisons des plants pour le secteur conventionnel et pour le secteur biologique et nous nous devons de livrer des plants répondants aux exigences des clients » nous explique Thierry Meffre. « Utilisé depuis plusieurs années dans nos serres, le cocktail de parasitoïdes VerdaProtect nous offre une bonne protection contre les différents pucerons que l’on peut observer. Il s’intègre facilement dans notre stratégie de lutte contre les ravageurs et sa facilité d’utilisation nous permet de nous concentrer sur d’autres points importants ».


Clock House Farm (Kent, Royaume-Uni)

Clock House Farm (Maidstone, Kent, Royaume-Uni) est spécialisée dans la production de fruits (petits fruits, fruits à noyau et fruits à pépins). FresaProtect a été utilisé dans les cultures de fraises et a donné d’excellents résultats. Dans les fraises de juin (Elsanta), le contrôle du puceron a été spectaculaire. Par rapport aux stratégies précédentes, James Dearing, directeur de production, pense qu’il a épargné deux à trois pulvérisations. Dans la production de fraises remontantes (Amesti), FresaProtect a même permis de garder les pucerons en dessous du seuil d’observation. M. Dearing affirme: « Je suis très heureux des résultats de FresaProtect. Sur la ferme, les pucerons étaient l’un des ravageurs pour lesquels nous n’avions pas de solution biologique fiable et l’utilisation d’insecticides contre les pucerons affecte certainement les insectes utiles contre d’autres ravageurs. Avec FresaProtect, nous pouvons réduire fortement l’utilisation d’insecticides et maintenir les populations d’auxiliaires en bonne santé. Il ne fait aucun doute que nous continuerons à utiliser FresaProtect sur nos fraises ».


Langdon Manor Farm (Kent, UK)

L’entreprise, BR Brooks & Fils, situé sur la ferme « Langdon Manor Farm », près de Faversham dans le Kent, est spécialisée dans la production de fraises et de framboises. Dans le passé, des problèmes de résistance des pucerons à certains insecticides ont été observés sur la ferme. Le propriétaire, M. Alastair Brooks avait besoin d’une alternative fiable. C’est dans ce cadre que FresaProtect a été utilisé pour la première fois dans les fraises. M. Andrew Reeve, directeur de production affirme: «Nous avons utilisé FresaProtect dans notre production de fraises de la variété Sonata (variété de juin) et avons obtenu des résultats très encourageants avec ce produit. Une forte infestation de puceron de la pomme de terre (Macrosiphum euphorbiae) a été contrôlée presque entièrement avec beaucoup de pucerons momifiés trouvés dans la culture. Nous sommes très impressionnés par le produit et sa facilité d’utilisation, il peut même être utilisé sous agryl.


Marc Vissers, PCS (Centre d’essai, plantes ornementales), Belgique

Le PCS (Proefcentrum voor Sierteelt) est une station de recherche consacrée à la culture des plantes ornementales, située à Destelbergen (Belgique). Depuis plus de 20 ans, un grand nombre de recherches y sont effectuées dans le domaine de la protection des cultures, aussi bien avec les pesticides qu’avec les agents de lutte biologique. En vue de la prévention de la résistance des ravageurs à divers produits, l’utilisation d’insectes bénéfiques est devenue une partie importante d’une stratégie durable de protection des cultures. Ainsi, Marc Vissers, coordinateur du département plantes d’appartements, utilise systématiquement des acariens prédateurs contre les thrips, les aleurodes et les acariens, et OrnaProtect contre les pucerons. Marc Vissers: «Quand on fait des essais avec des acariens prédateurs ou des pesticides, il faut essayer de pulvériser aussi peu que possible avec d’autres pesticides. De même, dans nos essais de toxicité des pesticides, où l’impact des produits sur les acariens prédateurs est testé, nous ne pouvons pas pulvériser d’autres produits, ce qui signifierait la fin de notre essai. C’est pourquoi nous sommes très satisfaits des parasitoïdes d’OrnaProtect. Ils ne sont pas une solution miracle à tous les problèmes de pucerons sur toutes les espèces végétales, mais permettent de bien contrôler plusieurs espèces de pucerons dans plusieurs cultures. Sur ces cultures, nous ne devons plus pulvériser d’aphicide et les acariens prédateurs restent ainsi actifs. C’est pour ces raisons que je recommande aux producteurs de plantes ornementales d’utiliser OrnaProtect, et pas seulement à ceux qui utilisent déjà la lutte biologique mais aussi aux autres : Ils ne disposent que d’un nombre limité de substances actives et tant qu’ils ne doivent pas faire de traitement chimique, aucune résistance contre ces produits ne se développe. De cette manière, ils peuvent réserver une partie de leurs insecticides pour des interventions sur des ravageurs plus difficiles à contrôler comme les cochenilles, les aleurodes ou les thrips.





Béatrice Simeon (Biot, France)

Béatrice Simeon produit des fraises (charlottes et autres variétés remontantes) dans la région de Nice (France). Dans un souci de respect de l’environnement et parce qu’il y a une demande croissante de la part des consommateurs pour des produits sains, madame Simeon a choisi de travailler en production intégrée. « L’utilisation des auxiliaires est pour moi une évidence puisque je ne mets aucun intrant chimique dans mes cultures et que je n’ai trouvé aucune autre solution de traitement. » dit-elle. «Contre les pucerons, j’utilise FresaProtect, le mélange de parasitoïdes de Viridaxis. C’est très simple à utiliser et cela permet un bon contrôle des différentes espèces de pucerons qu’on trouve sur fraisier ». Madame Simeon conclut : « Depuis que j’utilise FresaProtect, les pucerons ne sont plus un sujet d’inquiétude et cela est vraiment très appréciable ».


LWG Bamberg (Allemagne)

L’unité maraîchage de la LWG Bamberg (Allemagne) applique la protection biologique des plantes selon différentes stratégies : préventivement dans le cadre des cultures conventionnelles et uniquement biologique dans le contexte des cultures biologiques. Dans la production conventionnelle, une correction chimique est toujours possible, en cas de nécessité. Toutefois, l’objectif est d’atteindre une production sans pesticide, si possible. Dans cette stratégie classique, VerdaProtect a été utilisé de manière préventive pour trois sets de concombres ( Proloog , Greenfit / Bornand, Bornand / Proloog ). Dans la partie biologique , les lignes directrices de « Naturland », une association pour la promotion de l’agriculture biologique, sont appliquées. La protection chimique des cultures y est strictement interdite. Dans ce cadre, VerdaProtect a été utilisé dans les tomates et les haricots.

Peter Gäcklein , le gestionnaire des cultures maraîchères au sein de cette station de recherche, et Martin Schulz, l’ingénieur responsable des essais dans la partie conventionnelle, résument : « Pendant tout le cycle de culture de Janvier jusqu’à la mi- Octobre , les pucerons n’ont pas été un problème du tout. Nous avons pu observer des pucerons du cotonnier début Juillet dans la partie biologique , mais ceux-ci ont été contrôlés immédiatement . Nous allons continuer à utiliser VerdaProtect dans nos serres ».